tu me tires vers toi l’immensité du ciel se rétrécit quand je me penche vers toi la ligne d’horison bascule et je tombe encore vers toi bientôt l'immensité du champ dans les yeux je ne verrai plus que l’herbe rouillée du dernier printemps
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Qui êtes-vous ?

- La Fille
- On pourrait se dire: à quoi bon continuer, la courbe ne rejoindra jamais l'axe. Moi je dis: on s'en fout. Alors, faute de mieux, je tends vers.
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